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Au presque quotidien
11 mars 2014

quelques phrases

Lu dans le journal quotidien (gagné grâce à un concours de nouvelles, comme déjà écrit) que je reçois, cette phrase attribuée à Julos Beaucarne (un chanteur belge qui a écrit des merveilles quand il était petit): "des chercheurs qui cherchent, on en trouve; des chercheurs qui trouvent, on en cherche". Or, cette phrase a été prononcée par le général de Gaulle voilà plus de cinquante ans.

Dans ce même  journal - je donne l'information afin que vous ne mourriez pas idiot(e)s: j'apprends la signification du jeu "Colin-Maillard".Impressionnant. Monsieur Colin, né au début du Xème siècle, a été ruiné à l'âge de trente ans. Il devint maçon. Il se rangea dans les troupes de Notger. Il était très fort et, lors d'une bataille, il s'enfonça dans les troupes ennemies armé de son maillet de maçon. Le ennemis se retirèrent, apeurés par cet énergumène qui faisait tournoyer son outil et n'ayant cure de ce qui pouvait lui arriver. Il devint "Colin-Maillard" du nom de l'outil qu'il brandissait. Au cours d'une bataille, il a perdu la vue. Cela ne l'empêcha pas de continuer à combattre, maillet tournoyant, à l'aveugle. De cette histoire est né le jeu.

Intéressant, non? Ou, comme disait Pierre Desproges...  

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Commentaires
J
Chouette. Cela prouve ton intelligence, si besoin est . Tu vois,: j'emploie le tutoyment, dorénavant....
T
J'avais compris.
J
Qu'est-ce que j'en sais, moi? Platon, Epictète, César? Aristote, Nietzsche, Einstein? Je n'en ai rien à foutre.... ce que je voulais dire, c'est que donner l'aval de cette phrase à ce chanteur belge me semblait - pour le moins - inopportun.Ceci dit, c'est une gazette de merde.
T
Général de Gaulle qui l'avait prise à qui?
Au presque quotidien
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